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Petite histoire de la Généalogie
sur l'internet en France
Annexe

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Préhistoire   La Fédération (FFG)

fr.rec.genealogie (FRG)

Geneanet   Geneabank   FranceGenWeb

histoire-genealogie

AFG   Autres sujets

 


Préhistoire Haut de la page

3ème millénaire avant JC, Mésopotamie, tribu des Safaïtes : des hommes éprouvent le besoin de graver dans la pierre le nom des membres de leur famille sur 4, 5, 6 générations.

Rome antique républicaine : lutte de la plèbe contre les patriciens. Le patriciat est formé de "gentes", véritables clans familiaux dont les membres peuvent se prévaloir d'une communauté d'ancêtres et monopolisant les pouvoirs.

Moyen Âge : la dévolution de la couronne est soumise à la généalogie.
En fait la dévolution d'un titre par lien de sang n'est qu'une des voies de transmission. L'élection d'un chef par ses pairs est très courante dans les peuplades germaniques par exemple. Il est de fait qu'une transmission par le sang s'est imposée, mais restant souvent soumise à une procédure formelle d'élection. Le meilleur exemple : le Saint Empire romain germanique, pour lequel ce système à continué formellement jusqu'à sa disparition sous Napoléon. [ex : Marie-Thérèse d'Autriche, *roi* de Bohème et de Hongrie, à qui la dignité impériale était refusée en raison de son sexe et qui ne fut impératrice que parce que les électeurs impériaux utilisèrent le subterfuge d'offrir la couronne à son mari François de Lorraine].
En France, la procédure d'élection a formellement continué jusqu'aux Valois, même si dans les faits c'était toujours le fils aîné qui était élu par acclamations. Sauf pour les trois derniers Capétiens « directs », où la couronne, en l'absence de descendance mâle survivante, échut au frère cadet suivant immédiatement.

Des « travaux forcés » de généalogie étaient imposés aux prêtres pour prouver qu'il n'existait pas d'empêchement de mariage dirimant entre deux futurs époux. Dans les premiers siècles, l'empêchement courait jusqu'au *septième* degré de parenté, avant d'être réduit au quatrième. C'est cette problématique qui conduisit l'un des premiers rois capétiens à chercher femme loin de la France comme Anne de Kiev. Les Canons du concile de Latran (1215) sont directement à l'origine de la généalogie moderne. Par leur exigence d'éléments de preuve tangibles en matière d'empêchements, ils ont en effet directement provoqué la timide et progressive apparition des premiers registres de baptême (bien avant la fameuse ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539, qui se contente de dire que les registres doivent être rédigés en français).

Ancien Régime : la nécessité d'apporter la preuve de quartiers de noblesse contribua au maintien d'une certaine activité généalogique, dans certains milieux.

Révolution française : l'opinion générale est de dire qu'il y a une liaison traditionnellement forte entre généalogie et milieux aristocratiques (La Révolution aurait donc entrainé la généalogie dans l'oubli). Cette opinion est très discutable.

Période contemporaine : des amateurs s'adressent aux mairies en cherchant des actes anciens sur leur famille.
On s'interroge sur l'intérêt de ces ancêtres dépourvus de toute notabilité ou influence ?
Mais peu à peu, on a pris conscience combien peut-être passionnante la vie des gens précisément "sans histoire".

"Je suis bien certain que la tradition orale étant ce qu'elle était, la connaissance des ancêtres, même sans support écrit, était bien plus importante dans "tous les milieux". Bon nombre de nos aïeux faisaient de la généalogie sans le savoir." Jean/Jerotito


Fédération Française de Généalogie (FFG) - création en 1968 Haut de la page

Deux personnes sont signalés comme actives pour ce qui concerne Internet : Philippe Rossignol (ancien Secrétaire Général) et Laurent Mairesse (actuel Secrétaire Général).

Activités réalisées par la FFG depuis 35 ans (sources : frg et site de la FFG)
- Participation au Fichier Origine
- Rédaction de la charte des congrès (pas en ligne), choix de l'association organisatrice et remise de prix.
- Rédaction d'un Code de déontologie (inspiré du code de la Fédération québécoise des sociétés de généalogie.)
- Bigenet : site pour obtenir un acte après paiement.

Projet Karolus - Nom du portail de l'Institut de Documentation sur l'Histoire des Familles (IDFH).
Un ancien secrétaire de la Fédération (Alain Morineau) a essayé de lancer ce portail en ignorant ce qui existait déjà. Après 2/3 ans le projet a été abandonné pour être intégré dans la structure commerciale GeneaGuide.

 

1997 - Congrès de Bourges - souvenir de Denis Beauregard
«Pour ce qui est des anciens , en général, ils se sont aussi rencontrés entre eux pour la première fois. Je me rappelle en particulier d'un dîner où j'avais l'impression que nous étions un groupe de comploteurs en train de révolutionner le monde sur papier. Il y avait Pascal Pinan-Lucarré, Philippe Rossignol (Pt d'un cercle), Jean-Paul Cornu (Pt d'un cercle), Bernard Debreil et sans doute un ou deux que j'oublie.
C'était le premier atelier sur Internet et les gens avaient trouvé une salle voisine avec d'autres chaises car la salle était remplie et il fallait de nouvelles chaises.»

1997 - Les congrès - souvenirs de Philippe Ramona
« Je me souviendrai toujours des premières conférences et démonstrations où on était invités "par gentillesse" et où le public se bousculait et n'arrivait même pas à rentrer dans les salles au grand mécontentement de ceux qui méprisaient alors Internet et les quelques hurluberlus qui y croyaient... Limoges 1997, Brest et l'hôtel de Salm 1999, Besançon 2000 »

 


fr.rec.genealogie (FRG) Haut de la page

Avant 1984 : net.roots (en anglais)
1984 : soc.roots (en anglais) suite à la création des 7 hiérarchies de base (big 7).
1991 : ancêtres des sites web (téléchargement) : hallc1.cebaf.gov , ftp.nau.edu , WSMR-SIMTEL20.ARMY.MIL
1991 ? : création de Franco-Média (FM), issu de dissidents d'un autre réseau.
1993 : FM-Généalogie, "conférences de généalogie" de Denis Beauregard. Il y croise Bernard Debreil et Joël Surcouf.

10 janvier 1994 - FRG - Forum usenet francophone lancé par Denis Beauregard (DB)
La charte originale précise qu'il y aurait un lien entre FRG et FM-G.
(en 1994 un message par jour venait de FRG et 2 venaient de FM-G)

FAQ de FRG : Denis Beauregard, Bernard Debreil et Claire Bidault (on l'appellera aussi la FAQ de Claire).
Statistiques - Patrick Texier y joue depuis quelques années le rôle ingrat de gendarme.

 

Quelques suites de FRG

1994 - première liste de discussion francophone, lancée par Denis Beauregard (DB), était la passerelle mail de FRG.

1994 - forum soc.genealogy.french (articles surtout en anglais) concernant la généalogie des francophones. Reste bien adapté pour des recherches au Québec.

1995 - 1er site web francophone de généalogie (DB)

1996 - 1res réunions IRC de généalogistes francophones (DB) et popularisé par Bernard Debreil.

1997 - 1er réseau de sites web francophones de généalogie (Québec, France, Belgique et Suisse) (DB)

 


Geneanet Haut de la page

Juillet 1996 : Jacques Lemarois en collaboration avec un petit groupe d'individus ont assumé à titre personnel le financement du serveur pendant plusieurs années.
Christian Daumoinx a porté pendant des années Geneanet sur ses épaules.

Programmes écrit par Julien Cassaigne et Jérôme Abela

Ce n'est qu'après ces années qu'ils ont décidé de financer le projet de lui-même en créant la société.
Un équivalent en anglais : http://www.gendex.com/stats/ (2000 Rootsweb - serveur de 3 téraoctets)

 


GeneaBank Haut de la page

La première citation de GeneaBank date du 25 mai 1997, sur un canal de chat IRC . La mise en place de GeneaBank et de FranceGenWeb se sont faites exactement en même temps avec quasiment les mêmes personnes. Le serveur Geneabank a commencé à fonctionner le 24 février 1998

L'association est déclarée en décembre 1998.
Premier bureau : Jacques Le Marois (Président, co-fondateur GeneaNet), Philippe Ramona (Secrétaire), Thierry Straub (Trésorier), Norma Alosi, Christian Daumoinx, Julien Cassaigne (co-fondateur GeneaNet), Jean-Paul Cornu, Philippe Rossignol, Robert Weinland (futur administrateur FGW), Michel Collignon (GeneaNet et futur administrateur FGW)

Pour quelques associations geneabank a été une véritable révolution. Aujourd'hui l'entrée d'une association dans geneabank peut entrainer des adhésions complémentaires. Par contre la "révolution" geneabank est très récente (vers 2002) : ça a mis longtemps à percer dans de grosses associations ...
GeneaBank fait partie des précurseurs d'une solution de mise à disposition des actes BMS-NMD qui se veut proche des aspirations de la communauté généalogique.

En 2003 Geneabank est en train de devenir, avec plus de 6000 usagers la plus grosse structure généalogique de France, juste derrière la FFG.

C'est une structure créée spécialement PAR et POUR Internet.

Programmeurs : scripts de Julien Cassaigne avec une Américaine, Laura Cook. Elle a participé à plusieurs projets français de généalogie comme Geneactes et LafayetteGenWeb.

Depuis 20 ans des généalogistes, jusque là isolés, se sont réunis en association pour mettre en commun leurs travaux de dépouillements systématiques de registres d'état-civil.
Jusqu'en 1998, ces bases de données étaient peu accessibles (consultation au siège de l'association, soit cher via le Minitel). Devant ce gaspillage (travail important mais qui reste confidentiel) le projet via Internet, GeneaBank, propose :
-mettre à la disposition des associations un outil pour leurs adhérents éloignés.
-mettre ces travaux dans un "pot commun" pour permettre à un adhérent d'une association participante de consulter les données de toutes les autres
-éviter le piratage de ces bases et laissant la propriété et le contrôle aux cercles.
Principe : une association met en consultation sur Internet via Geneabank des actes, consultables par un système sécurisé, en échange d'une unité d'échange appelée "point GBK". Ces points sont créés à chaque dépôt d'acte d'état civil filiatif. Ils sont donnés aux associations, qui se chargent ensuite de les redistribuer à leurs adhérents.
Ces points sont recrédités à chaque consultation à l'association qui a proposé l'acte consulté, créant ainsi un flux permanent qui permet au système de fonctionner.
En 2003 il y a 26 associations participantes. L'ensemble des usagers du système est d'environ 6000 actuellement et l'ensemble des actes proposés est de 8,6 millions.

Privilégie ainsi l'adhésion aux associations participantes plutôt qu'un paiement à l'acte (Bigenet, SWIC)


FranceGenWeb (FGW) Haut de la page

Témoignage de Denis Beauregard
« Le concept de WorldGenWeb était basé sur une expérience faite au Kentucky (USA). Le but était alors d'identifier les ressources sur Internet au sujet de la généalogie locale. J'avais alors décidé de lancer le projet pour le Québec et aussi le Canada. J'ai donc lancé les 2 structures en m'inspirant du site sur la Nouvelle-Zélande. J'ai aussi imposé certains critères pour choisir les titulaires des différents projets provinciaux - quelqu'un déjà impliqué sur place.
En parallèle, la France « appartenait » déjà à une Américaine que personne ne connaissait. Dans ce jeu, les gens prenaient un pays non pas parce qu'ils le connaissaient bien, mais juste pour faire chic. Il a donc fallu faire décoller l'Américaine qui ne voulait pas laisser tomber la France et laisser des Français s'en occuper. Pascal Pinan-Lucarre (PPL) a pratiquement attendu un an avant de lancer quelque chose. Il m'avait dit qu'il avait attendu d'avoir des gens pour s'y impliquer, une première équipe quoi. PPL s'est aussi impliqué dans d'autres structures régionales WGW à cette époque.
Pourquoi avais-je demandé à PPL ? Tout bonnement parce qu'il avait écrit quelques pages pour mon site, pages que je lui ai "redonnées" quand j'ai vu qu'il avait lui aussi les moyens d'avoir son site Web (Francêtres-France).»

Mai 1997 : Pascal Pinan-Lucarre annonce qu'il prend en charge pour la France un service émanant d'une organisation américaine (WorldGenWeb).

23 décembre 1999 : Déclaration à la Préfecture du Nord (J. O. du 15 janvier 2000) de FRANCEGENWEB. "Objet : encourager le développement de la généalogie bénévole sur et hors réseau mondial Internet par la mise à disposition de moyens et services appropriés."

«Philippe Rossignol souhaitant mettre en avant l'internet généalogique nous avait proposé de partager son stand "GH Caraïbe". Beaucoup de personnes se sont intéressés à notre présence et les différents échanges que nous avons pu avoir avec de simples généalogistes, des représentants d'association ou le fameux Jean-Louis Beaucarnot ont mis en évidence que l'absence de structure officielle semblait être un frein dans les relations avec les tiers.
Nos interlocuteurs étaient dubitatifs sur notre philosophie : des amateurs qui se dépensent sans compter pour mettre des pages Web et des bases gratuitement à disposition des autres sans arrière-pensée étaient pour eux inconcevables ! Nous avions déjà eu ce genre de constat dans des présences plus anciennes et furtives à d'autres manifestations mais "Brest" est le début véritable de la prise en compte du phénomène Internet et a été le déclencheur de cette mutation (début de la presque omni-présence de stands d'association équipés de micro).
D'où réflexion dans les mois qui ont suivi, modèle de statuts d'association généalogique transmis par Philippe Rossignol et amendés en IRC en comité restreint pour y adjoindre la communication Internet dans l'objet, les réunions, convocations et autres.
Premier Bureau : Pascal Pinan-Lucarré (Président), Thierry Straub (Vice-président puis second Président), Andrée Parbelle (Secrétaire, 3 ème présidente depuis 2002), Christian Daumoinx (Trésorier, fondateur de la liste entraide généalogique sur le Web), Bernard Debreil (Secrétaire-adjoint, fondateur réunion IRC), Jean-Paul Cornu (Trésorier adjoint, ex Président AGGH Alpes-Maritime et Monaco, webmestre FFG)»
Souvenir de Thierry Straub - mai 1999 - congrès national de généalogie de Brest.

CousinsGenWeb (CGW)

Vincent BELOT (adhérent n° 007 de FGW).a mis au point le service "cousins" sur sa page LozèreGenWeb au printemps 1999. Il avait fait une macro pour trouver des cousinages
Ça s'appelait à l'époque Ancêtres 48, puis Cousins 48. Il l'a officiellement proposé à l'ensemble de FGW, créant ainsi les CGW le 8 juin 1999.
D'autres gestionnaires ont trouvé l'idée intéressante et ont testé la macro. Puis tous les gestionnaires ont fini par l'utiliser. La macro est toujours propriété de FGW.

 


Histoire-Généalogie Haut de la page

Texte d'un des fondateurs : Thierry Sabot

"1) Origine du projet
L'origine du projet de magazine-web est à rechercher en... 1988 ! avec la publication de dix numéros d'un modeste bulletin associatif "La Page " (diffusion à 300 exemplaires). A lire les éditoriaux de ce mensuel, on y retrouve déjà quelqu'unes des rubriques de www.histoire-genealogie.com (notamment le recensement des anecdotes historiques et les témoignages oraux de nos " anciens ") et surtout les grandes lignes du projet éditorial du magazine-web : l'importance de la généalogie à la construction de l'Histoire, la pluridisciplinarité, l'apport du tourisme culturel (cf la notion de patrimoine), la " volonté d''aborder des thèmes ou des pistes peu ou pas exploitées " (édito du n° 7 octobre 1988)...

2) La mise en place du magazine-web
Crée à l'automne 2000, www.histoire-genealogie.com se présente sous la forme d'un magazine-web spécialisée dans la recherche et la diffusion de l'information historique et généalogique (histoire locale et généalogie historique). Concept novateur, puisqu'il est le premier et toujours le seul magazine d'histoire et de généalogie sur le web (le web : une véritable aubaine pour la création et la publication d'un tel projet !).
Inspiré de bulletin " La page ", il est mis en forme et lancé par une petite équipe d'anciens étudiants en histoire-géographie (4 personnes à l'origine). Dès le début, l'équipe s'étoffe rapidement et rassemble des personnes d'horizons très divers : spécialistes ou amateurs, lycéens, étudiants, employés, employeurs, retraités, généalogistes ou historiens locaux... tous sensibles au terroir et au patrimoine bâti et naturel de nos régions. On peut dire aujourd'hui que le magazine-web fonctionne comme une association... sans en avoir les statuts, tous les avantages ou les inconvénients.

3) Objectifs
La vocation de ce magazine-web, en tant que site d'information, est d'être une "vitrine" des "contenus" historiques et généalogiques présents sur Internet, une sorte de "carrefour" ouvert à tous, un lieu de rencontre, simple et convivial, où les historiens et les généalogistes viennent librement déposer ou puiser des informations, des conseils et des renseignements afin d'illustrer ou compléter leurs connaissances sur la vie et l'environnement de leurs ancêtres.
" Page collective " au service de la recherche historique et généalogique, ce magazine-web est fondé sur une démarche de rigueur historique. Les articles proposés sont donc essentiellement des textes de synthèse (avec références des sources), des créations originales des auteurs ou des articles critiques sur des sujets nombreux et divers.

4) Perspectives
- Poursuivre la collecte et la mise en valeur des témoignages et des souvenirs émouvants et riches d'intérêt de nos aînés.
- Encourager les initiatives originales et les projets novateurs en histoire locale et généalogie historique.
- Continuer à mettre en valeur les réalisations et les projets individuels ou collectifs (notamment sur l'étude et l'inventaire du " petit patrimoine ").
- Proposer des pistes de travail autour de thèmes peu étudiés ou de documents peu utilisés habituellement (l'intérêt des hagiographies, la lecture des paysages, le commentaire de cartes, la perception de l'ici et de l'ailleurs...).
- Elargir la réflexion autour de l'évolution de la généalogie (généalogie pratique et généalogie historique) et favoriser les échanges avec d'autres disciplines."

 


Association Française de Généalogie (AFG) Haut de la page

C'est réalisé et tenu par une personne : Paul-Marc Heudre (PMH). Son activité est la gestion de listes de discussion.
PMH transforme/tronque les messages émis par les abonnés de ses listes dans la mesure où ça lui paraît contraire à la promotion de sa structure.

Son argumentaire est sa volonté d'empêcher les polémiques et la promotion de telle ou telle structure/service existants à l'extérieur de l'AFG. Pour ne pas influencer.

Ses listes sont privés et c'est donc son droit d'agir de la sorte. Et si un abonné s'insurge contre cette pratique, il est exclu. Vous avez un doute ? Envoyez-y un mail citant avec un lien Geneanet, CGW ou FGW.

En fait ces restrictions sont nuisibles à la circulation de l'information : principe de base d'une liste de discussion. C'est pourquoi ces listes ont été désertées peu à peu par les généanautes avides d'échanger et d'améliorer les initiatives locales et variées.
[Pour éviter des polémiques -pas toutes nuisibles- il existe d'autres méthodes mises en oeuvre sur les autres listes].

Les archives de FRG regorgent de témoignages sur ce sujet. Exemple : 29/2/2000 Objet : Explications (AFG, PMH, etc.)
Autres témoignages : http://ebed.free.fr/afg/censure.htm et plus technique : http://www.genindre.org/spamgene.htm
Cette association a suscité des controverses. Le plus impartial est de se faire son opinion en consultant l'historique des échanges publiques à ce sujet ici : http://minilien.com/?yDKK7KMz1o

Témoignage de Renaud Anzieu
«Durant l'année 2000, l'exclusion d'une liste de l'AFG pouvait être gênante dans la mesure où sur beaucoup de départements il n'existait rien d'autres que ces listes. C'est pour cela que, quelques semaines après mon exclusion, j'ai créé une liste de discussion généalogique sur le Cantal. Suivi quelques semaines plus tard par la création d'une autre liste sur l'Aveyron. Quelques mois plus tard, Claude Barret est aussi exclu des mêmes listes. Et il lance aussi une liste de discussion sur l'Aveyron sans connaître l'existence de la « mienne ». A cette époque il n'y avait pas d'annuaire connu. Nous avons fini par nous croiser et après quelques échanges pour valider notre convergence de vue, nous avons fusionné nos deux listes aveyronnaise.»

 


Autres sujets à développer Haut de la page

 

Participants : Denis Beauregard, Jérôme Galichon, Gérard Hilbert, Gilles Bernard, Jean/Jerotito, Patrick Texier, Thierry Straub, Philippe Ramona, Pascal Pinan-Lucarre, Renaud Anzieu

 


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